Depuis avril 2010, SIGEKO, le SIG du Kochersberg est à disposition des communes membres pour accéder rapidement aux informations localisées, le cadastre, les plans locaux d'urbanisme et les plans de réseaux secs et humides notamment.
Le SIG est désormais à disposition du grand public sous forme d'une application Web. Vous y trouverez les plans cadastraux, les plans locaux d'urbanisme, les plans des villages ainsi que de nombreuses informations concernant les équipements collectifs, les sorties et les loisirs.
Notez qu'il s'agit pour le moment d'une version Bêta (faisant encore l'objet de tests et de débogages) encore sujette à améliorations dans les prochaines semaines. Toutes les suggestions sont bienvenues, vous pouvez contacter le géomaticien directement depuis l'application Web-SIG ou encore en passant par le formulaire de contact (rubrique 'contact Webmestre / Infos site Internet').
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Un SIG est un ensemble de moyens et d’outils pemettant la gestion, l’analyse et la représentation de données géographiques. Il offre un éventail de possibilités, et représente un outil majeur pour la gestion de notre territoire.
Pour bien gérer un territoire, il est important de bien le connaître.
Le SIG permet de capitaliser et de pérenniser les données géographiques, que celles ci soit issues de levés et de recensements sur le terrain ou acquises auprès des producteurs de données.
Ces données peuvent être interogées par les utilisateurs et exportées sous des formes diverses.
Le SIG permet de créer de l’information à partir de données brutes et de produire des cartes à la demande et à moindre coût.
Les cartographes pensent souvent qu’une bonne carte vaut mieux qu’un long discours...
Le SIG n’est pas seulement un outil de gestion de l’espace ; c’est aussi un outil d’aide à la décision.
Grâce à la puissance de calcul des ordinateurs, le SIG permet de croiser les informations, d’étudier les relations entre différents objets à des fins de diagnostic ou de prospective, et ainsi faire les meilleurs choix dans l’aménagement du territoire.
Les données géographiques sont des données localisables dans l’espace par un couple de coordonnées comme par exemple la latitude et à la longitude permettant de localiser tout point sur le globe terrestre.
Dans un SIG, l’objet géographique est l’entité de base. Il peut s’agir d’éléments matérialisés sur le terrain (un bâtiment, un lampadaire, un tronçon de voie) ou pas : une limite administrative ou l’épicentre simulé d’un séisme sont aussi des objets.
Ces objets comportent un certain nombre de propriétés (plutôt appelées attributs) qui les définissent. Une parcelle, par exemple, est un objet dont les caractéristiques sont la surface, le propriétaire, la date de mutation, l’usage du terrain, son revenu cadastral, etc.
Chaque objet fait l’objet d’un enregistrement dans une base de données. Chaque tableau (ou table) est une sorte d’inventaire d’objets de même nature, qui répondent à une même définition. Ces objets sont interrogeables.
Une couche correspond en quelque sorte à un calque figurant des objets homogènes, issus d’une même table de base de données, comme vu précédemment.
Plus fréquemment, le terme de couche renvoit plutôt directement à une thématique elle même constituée de couches. Par exemple, dans SIGEKO, la couche thématique éclairage public est la compilation des couches lanternes, réseau, armoires.
Le SIG permet de superposer ces couches à volonté, ce qui facilite grandement la production cartographique d’une part, mais permet aussi de se livrer à des analyses reposant sur des problématiques géographiques.
Le site du Conseil National de l’Information Géographique